L’ukrainophobie de Michel Balique, président de l’association « Les Amis des Grands Voiliers »

Destructions, manifestations qui dégénèrent, troubles à l’ordre public, actes de violence, anti-russes primaires, peur, théories de crimes de guerre, haine, hostilité, venin, anonymat, agressions, menaces de mort, sécurité des russes… sont des expressions clef que Michel Balique partage, depuis mars 2022, au nom de l’association des « Amis des Grands Voiliers  » qu’il préside. Cette « communication médiatique adaptée », une campagne de calomnies, vise à discréditer les lanceurs d’alerte ukrainiens ou pro-Ukraine qui s’opposent à la présence illégale du navire russe Shtandart dans les ports français et dont le même Michel Balique assure la promotion. Il s’agit d’un discours ukrainophobe dont les accusations n’ont aucun fondement à l’exception de leur filiation directe avec les éléments de langage russes popularisés par Moscou depuis 2014 et qui ont « justifié » l’invasion russe ainsi que ses crimes en Ukraine.

Catherine Léonidas: la réécriture confuse des sanctions européennes concernant les navires russes, par l’adjointe au maire de La Rochelle

La municipalité de La Rochelle a gardé le silence pendant six mois concernant les motifs qui l’ont conduite à contourner les sanctions européennes en faveur du navire russe Shtandart, avant de tenter, à trois reprises, de délivrer des explications à la presse. L’article de « Libération », paru le 14 janvier 2023, expose les arguments de Catherine Léonidas, première adjointe au maire de la cité. Dans la ligne de ses deux déclarations précédentes, le discours est confus et semble directement reprendre celui inexact, voire délibéremment trompeur, de la personne en charge des intérêt commerciaux du Shtandart en France.

Michel Balique & le navire russe « Shtandart » en eaux troubles sur le journal « Libération »

Depuis le début de l’invasion russe en Ukraine, Michel Balique, utilise l’association qu’il préside, « Les amis des Grands voiliers », comme un outil de promotion commerciale du navire russe « Shtandart » . De plus, il l’exploite comme un organe de diffusion d’une réalité alternative destinée à faire écran au contournement du 5e volet des sanctions européennes, auprès des décideurs, des médias et de l’opinion. Le journal « Libération » en apporte, une nouvelle fois, la preuve tout en ajoutant sa pierre à l’édifice de Michel Balique.