Voyages, comment l’appareil photo a-t-il pris le pouvoir ?

Initialement publié sur Bernard Grua, Photographe à Nantes :
Voici une histoire à la fois ordinaire et inhabituelle. Je vais vous raconter comment l’appareil photo, qui n’était envisagé que comme un accessoire de voyage, est devenu le décideur de voyages ultérieurs. La raison en est la découverte de la prodigieuse immensité sibérienne. Il s’agit de la première…

Comment la Sibérie fut-elle une initiation au portrait?

Initialement publié sur Bernard Grua, Photographe à Nantes :
Dans un précédent texte, j’ai présenté comment l’immensité sibérienne m’a transformé de l’état de voyageur photographe en celui de photographe voyageur. Ici, je vais expliquer pourquoi cette contrée m’a conduit à devenir un photographe portraitiste. Voilà, une conséquence inattendue de cet endroit du monde si austère mais si…

Bernard Grua portraitiste: portfolio du bout du monde

Bernard Grua photographie: portraits du bout du monde: Iakouts de Sibérie, Tsiganes et Aksakals d’Ouzbekistan, Pamiris et Kirghizes du Tadjikistan, Wahis d’Afghanistan et du Pakistan.

Sibérie: les radiotélescopes de Badary dans la vallée rurale, thermale et bouddhique de la Tounka

A l’Ouest du Baikal, s’étend un couloir sibérien qui fut, autrefois, un lieu de passage entre l’Asie du sud et l’Asie du nord. Aujourd’hui, cette enclave est un petit monde rural, traditionnel et bouddhiste. Si la vallée de la Tounka est célèbre pour ses montagnes, sa beauté et ses sources bienfaisantes, elle est aussi en relation avec les astres grâce aux moins connus radiotélescopes de Badary dont la remarquable technologie se marrie heureusement avec cet environnement préservé si particulier.

La Sibérie, terre si méconnue et pourtant si ancrée dans l’imaginaire collectif

Les paysages et le froid extrême de la Sibérie fascinent. Les images qui en sont rapportées attirent bien plus que celles d’autres parties du monde à l’exotisme aujourd’hui banalisé.

Sibérie: la mine perdue de Batagol et le pays secret des Soyots

A la différence de leurs confrères étrangers, les découvreurs français ont peu participé à l’exploration de la Sibérie. Pourtant, il en existe un, aujourd’hui méconnu, qui mériterait, tant en France qu’en Russie, d’être étudié. Au milieu du dix-neuvième siècle, l’aventure romanesque mais bien réelle, de Jean-Pierre Alibert a laissé, localement, d’importants souvenirs qui ne demandent qu’à être partagés.

Visiting Baikal Lake in winter – February/March 2007

Back to Baikal After my Transiberian trip in Summer 2006, I was back on Baikal Lake between February 23 and March 11, 2007. I want to say a very special thank to those who helped me to prepare it. Because of them, I could plan everything, without using any travel agency avoiding « packages »; I mustLire la suite « Visiting Baikal Lake in winter – February/March 2007 »