Le couple Philippe de Lara et Hélène Roudier de Lara lance, en 2018/2019, une association et un site web intitulés « L’Ukraine est notre voisin ». Les objectifs affichés sont ambitieux. Ils se placent à la hauteur du rôle que se reconnaissent leurs deux initiateurs dans le monde de l’activisme anti-Poutine et pro-Ukraine. Les créateurs revendiquent un partenariat avec deux fondations importantes et le soutien de personnalités qui font autorité, pour ce qui est des sphères russes et ukrainiennes, en termes géopolitiques, historiques, culturels et sociaux. Pourtant, la « star » (sic) annoncée se révélera être une coquille vide. En novembre 2020, Philippe de Lara indique la transformation du projet sous une forme encore plus réduite. Mais, fin mars 2021, il faut bien reconnaître que la communication de l’automne précédent annonçait, hélas, la déroute des illusions originelles et la révélation d’un douloureux sabordage.
Archives de l’étiquette : Hélène Roudier de Lara
Guide de la particule et des noms composés, à l’usage des gueux et des faquins.
Hélène Roudier de Lara, une professeur mise en retraite anticipée, me fait grief d’une soi-disant impolitesse. En effet, dans un de mes textes, je l’ai simplement mentionnée sous « Roudier » lors d’un échange concernant le toxique André Markowicz. Il me semble que cette personne ignore les usages qu’elle invoque. Je vais m’employer à les lui rappeler.
André Markowicz: le poison
Grâce à sa production littéraire reconnue et grâce à quelques textes s’opposant au totalitarisme de Vladimir Poutine, André Markovicz bénéficie d’une aura empêchant tout questionnement sur sa personne. Mieux, il est largement partagé et congratulé. Pourtant, quand on réexamine l’enchaînement de ses publications, on ne peut qu’être sidéré du flot de calomnies et de contre-vérités qui hantent un sous-jacent discours de haine, souvent directement copié de sa conjointe, Françoise Morvan. La méthode de désinformation est habile, à défaut d’être loyale.
Le langage jacobin-trotskiste imprégné de complotisme, de Markowicz et de Morvan a un constant fil conducteur : montrer que le mouvement breton et que la langue bretonne sont les créations d’une extrême-droite, sécessionniste, intégralement inspirée par la collaboration avec l’occupant allemand. Cette idéologie serait perpétuée par des néo-nazis agissant en collusion avec « les patrons ». On est là, dans le schéma de propagande appliqué depuis 2013 par le Kremlin contre l’Ukraine.