La « Maison de l’Europe » de Vannes au service d’un navire russe fraudant les sanctions UE

Jean Claude, #NoShtandartInEurope en Morbihan et en Finistère, fait part de sa colère et de son dégoût à Daria Moskovets et Nina Spasskaya, deux Ukrainiennes qui se sont mises au service de la propagande du navire russe « Shtandart ». Vladimir Martus, son capitaine-propriétaire, qui se rêve en incarnation de Pierre le Grand tout en célébrant le communisme et l’héritage soviétique, est connu pour ses liens étroits avec le pouvoir russe. L’auteur dénonce aussi le machiavélisme morbide de « l’idiot utile », président de l’association croupion, « Maison de l’Europe » de Vannes, ayant entraîné ces deux femmes dans ses funestes reniements.

Deux réfugiées ukrainiennes manipulées dans une affaire russo-vannetaise de fraude aux sanctions européennes

Daria Moskovets et Nina Spasskaya, deux réfugiées ukrainiennes résidant à Vannes, en raison de leur manque de discernement, mais aussi à cause de l’emprise qu’exerce sur elles le microcosme politique vannetais, dont elles n’ont pas les codes, ont servi le narratif toxique de Vladimir Martus, capitaine-propriétaire du navire russe « Shtandart » violant les sanctions européennes. On trouvera ici un courrier adressé aux intéressées, à la presse et aux principales associations œuvrant pour l’Ukraine, parties prenantes du collectif No Shtandart In Europe. Ce sera l’occasion de vérifier une nouvelle fois que, dans cette guerre, il n’existe pas de zone grise. Il y a un agresseur et un agressé, une victime et un bourreau. Ménager les intérêts russes et jouer une partition individuelle, si ce n’est individualiste, conduit immanquablement au reniement, voire à la trahison des principes européens, et à la marginalisation.