Formulaire de signalement du compte @barefoot_Rmala à l’agence gouvernementale contre le cyberharcèlement

Ramla Akhtar Rmala Aalam BetterBonds
Ce document est la re-transcription des éléments ayant renseigné le formulaire de signalement adressé à l’agence gouvernmentale « Net Ecoute » contre le cyber-harcèlement. Il concerne la dénonciation du flot de Tweets haineux et calomnieux propagé par la pakistanaise Ramla Akhtar, alias Rmala Aalam, depuis son compte @barefoot_rmala (renommé, depuis, en @GruaAbuseArkive) en vue d’obtenir la suppression de ses écrits criminels déjà publiés, d’en empêcher la continuation et d’obtenir le bannissement, sous Twitter, de leur auteure. La « vie sociale » de Ramla Akhtar passe principalement par un groupe Facebook, Ramla’s Projects, qu’elle souhaite faire passer pour une ONG internationale et où elle propose, sans succès, des prestations facturables pour lesquelles elle n’a pas d’expertise.

Votre âge

57 ans

Votre email

bernardgrua@******.fr (en clair sur le formulaire de Net Ecoute)

Quel est l’âge de la personne concernée par le problème ?

57 ans

Quel est votre lien avec cette personne (Père, cousin, amie…) ?

C’est moi-même.

Quel est le problème rencontré ?

Moi-même, Bernard Grua, résidant à Nantes (44), @bernardgrua, suis victime, sous Twitter, de la cyberdélinquante pakistanaise, @barefoot_rmala. Il s’agit de harcèlement public, de diffamation et de dénonciation calomnieuse auprès d’ONG, de personnes influentes, d’autorités pakistanaises et françaises, de la ville de Nantes, de la police et d’Interpol. Au 3 décembre 2019, cela représente plus de 350 tweets sur moins de deux mois et demi.

Les principaux comptes destinataires des dénonciations calomnieuses sont : @NantesMetropole, @Johanna_Rolland (maire de Nantes), @PoliceNationale, @Interpol, @FranceInPak (ambassade France au Pakistan), @PoliceNat44 etc.

La cyberdélinquante @barefoot_rmala a, de plus, inclus @bernardGrua dans son « nom » multipliant la diffamation par chacun des 3 200 tweets qu’elle a envoyé à ce jour (1re pièce jointe § 1). Cela aussi pour effet de conduire à sa diffamation, toute personne lançant une recherche sous @bernardgrua dans Twitter.

Elle a, enfin, lancé le harcèlement en meute en demandant des retweets de ses lecteurs (1re pièce jointe § 2).

L’argument est que je soutiendrais un réseau de pédophiles et de violeurs au Pakistan. Que je harcèlerais @barefootRamla, que je la terroriserais, que je la menacerais de mort, elle et sa petite fille, que j’exercerais des violences à son égard. Je serais un terroriste, un fasciste colonialiste, un misogyne, un suprémaciste blanc. Je m’en prendrais à elle (que je n’ai jamais rencontrée) car elle a la peau sombre et est une musulmane sunnite. @barefoot_rmala exploite #MeToo, l’importante cause actuelle de la violence faite aux femmes, sa situation de mère célibataire, les pulsions xénophobes et le fondamentalisme religieux de son auditoire. Elle se place en victime. J’ai le tort d’être la cible idéale pour cette personne en mal de reconnaissance. Voir en exemple les 16 tweets reçus le 3 décembre (2e pièce jointe) et l’explication de pourquoi elle s’en prend à ma personne : « a privileged White European male » (1re pièce jointe § 3).

L’ensemble des tweets de @barefoot_rmala en date du 2 décembre 2019, mentionnant @bernardgrua est téléchargeable ici.

Depuis quand existe ce problème ?

Ce problème de harcèlement et de diffamation existe depuis fin mai 2019 par messagerie Facebook ou par posts Facebook publics suite a des articles que j’ai publiés parlant positivement d’une minorité ethnique (wakhie) et religieuse (ismaélienne), du Nord pakistan, à laquelle @barefoot_rmala voue une haine féroce. Mais le problème a pris un tour beaucoup plus intense et beaucoup plus diffamatoire avec son passage sur Twitter le 19 septembre 2019.

Entre le 18 septembre 2019 et le 2 décembre 2019, ce sont plus de 341 tweets de harcèlement qui ont été reçus. Une analyse de l’ensemble des tweets de la harceleuse @barefoot_rmala entre le 22 juillet 2015 et le 2 décembre 2019 montre que moi-même, @bernardgrua, suit devenu la cible principale de cette cybercriminelle. Mon compte est, de très loin, celui le plus mentionné par cette personne sur l’ensemble de sa période d’utilisation de Twitter (3e pièce jointe).

Le rythme se poursuit avec 16 tweets reçus le 3 décembre (2e pièce jointe).

Quelles démarches ont déjà été effectuées pour résoudre le problème ?

J’ai signalé les 90 premiers tweets à Twitter le 26 septembre. Ensuite, j’ai signalé très régulièrement à Twitter les nouvelles publications. J’ai toujours expliqué que le problème ne venait pas seulement des Tweets isolés, mais de leur volume et de la répétition envahissante du mensonge. À chaque signalement Twitter, on ne peut joindre que 5 tweets. Pour les plus de 350 tweets, il existe donc un nombre important de signalements. Entre la confirmation des signalements et le « résultat de leur analyse », en y ajoutant, parfois, des demandes de précisions, ce sont plus de 268 e-mails reçu de Twitter.

J’ai envoyé des tweets proposant des explications et demandant de l’aide aux destinataires des dénonciations calomnieuses dont la ville de Nantes ainsi que la Police Nationale et Nantaise. Je n’ai pas eu de réponse.

Le 8 novembre, j’ai téléphoné au Commissariat Central de Nantes et à la ville de Nantes pour leur demander de l’aide. Je n’ai eu aucune recommandation concrète ou proposition d’action.

Le 20 novembre, je suis allé au Commissariat Central de Nantes pour porter plainte et obtenir de l’aide, leur demandant de signaler le compte à Twitter comme cela est prévu. On a refusé de m’aider, et même, à quatre reprises, de prendre ma plainte. J’ai été empoigné et expulsé physiquement du commissariat. Ce même jour, je suis allé demander de l’aide à la ville de Nantes. Des personnes du service de communication ont échangé avec moi, à l’extérieur du bâtiment, sans me faire entrer. Elles ne m’ont proposé aucune aide réelle.

Le 21 novembre, j’ai déposé une plainte à l’attention du Procureur de la République au Tribunal de Grande Instance de Nantes. En pièce jointe, j’ai ajouté un exemplaire papier des 296 tweets reçus à cette date. Ce même jour, je suis allé à la Maison de l’Avocat à Nantes. Ils m’ont proposé un RDV avec une avocate pénaliste que j’ai rencontré le 3 décembre. L’avocate ne connaît pas Twitter. Elle m’a juste confirmé que j’avais eu raison de porter plainte.

Le 22 novembre j’ai envoyé un courrier électronique détaillé à contact@mairie-nantes.fr, comme cela m’avait été indiqué par téléphone, pour ré-expliquer et redemander de l’aide. Je n’ai pas reçu de réponse.

Le 2 décembre, j’ai téléphoné à Net Ecoute qui m’a suggéré de remplir ce formulaire. Ce même jour, j’ai téléphoné à « Nantes Victimes 44 », qui comprenait à peine de quoi je parlais. On m’a proposé un entretien téléphonique avec un avocat pour le 6 décembre.

Quel a été le résultat de ces démarches ?

Pour l’instant, à part Net Ecoute, je n’ai rencontré aucun service public ou aucune personne qui se sente concerné.

Le 26 septembre, Twitter m’a bloqué, pendant plusieurs jours, se considérant spammés par le nombre (90…) de mes signalements !

Le 11 novembre, Twitter m’a envoyé une notification indiquant que @barefootRamster (ancien nom de @barefoot_rmala) violait ses règles. (4e pièce jointe)

Le 13 novembre Twitter m’a envoyé un email pour me dire qu’ils avaient bloqué @barefootRamster (4e pièce jointe). Ce blocage n’a duré qu’une demi-journée.

Le 14 novembre Twitter m’a envoyé une notification disant que @barefootRamster violait leur règle par une conduite haineuse. (4e pièce jointe)

Depuis lors, Twitter répond invariablement que les Tweets de @barefootRamster (puis @barefoot_rmala) ne violent pas leurs règles. Cette correspondance avec Twitter est dévoratrice de temps, usante et profondément déprimante par son absence de résultat.

Comme je l’expliquais, je me suis fait littéralement jeté, le 20 novembre, du Commissariat principal de Nantes. La ville de Nantes à qui j’ai téléphoné, rendu visite et écrit le 22 novembre ne fait rien et ne me réponds pas.

Sans soutien, sans conseil, je ne sais pas comment contrer une telle malveillance. J’ai pu être conduit à mener des actions qui peuvent s’avérer préjudiciable à ma cause tant j’ai été excédé par les insultes et les provocations reçues. Pourtant, puis-je voir ma réputation détruite et mon honneur jeté dans la fange sans tenter de présenter un discours plus éclairé? .

Combien de signalement avez-vous déjà effectués ?

J’ai effectué des dizaines de signalements à Twitter, reprenant, généralement 5 tweets (maximum possible). Je leur ai envoyé des dizaines de mails détaillés ainsi que copie du dépôt de plainte. Comme indiqué ci-dessus, j’ai reçu 268 mails de Twitter.

La Police Nationale a refusé mon signalement pourtant préconisé dans tous les textes relatifs au harcèlement et pourtant encouragé par le module Twitter réservé aux requêtes des forces de l’ordre ou du gouvernement : https://help.twitter.com/forms/lawenforcement

La Ville de Nantes n’a pas pris de signalement bien qu’elle soit destinataire des Tweets de dénonciation calomnieuse.

Quand avez-vous fait ces signalements ?

Outre mon dépôt de plainte (21 novembre) et mes échanges de mails avec Twitter, mes signalements, plusieurs par semaine, s’étendent du 24 septembre au 4 décembre, 2019.

Je ne sais pas si je dois poursuivre les signalements auprès de Twitter. Ceux-ci sont sans résultat et me prenne énormément de temps. J’aurais besoin de vos conseils à ce sujet.

Quelles sont le ou les les URL des comptes/sites des auteurs concernés ?

L’auteure de ce harcèlement est Mme Ramla Akhtar, alias Rmala Aalam, née en 1979, « shop manager » de « BetterBonds » à Hussaini (Gulmit), Hunza, Gilgit-Baltistan, Pakistan.

Son compte Twitter est, aujourd’hui, @barefoot_rmala. Il a connu d’autres identités telles que @barefootRamster et est susceptible de varier à nouveau.
Cette personne dispose d’un autre compte Twitter identifié : @barefootRara.

La principale page Facebook de son activité professionnelle est : https://www.facebook.com/betterbonds.shop/
Sa principale blog-page sur Facebook est : https://www.facebook.com/KarakoraMommy/
Sa principale page Facebook personnelle est : https://www.facebook.com/BarefootRaRa

Quel est votre URL ?

Mon compte Twitter est @bernardgrua.

J’ai aussi, pour votre information, ouvert, le 01/11/2019, un autre compte afin de pouvoir apporter quelques réponses aux allégations les plus graves de @barefoot_rmala (préalablement @barefootRamster) et ne pas décourager mes « followers » réguliers par cette affaire. Il s’agit de @StopWebStalkers qui, à ses débuts, s’est appelé @StopTrolls3.

Qu’attendez-vous de Net Ecoute ?

Je ne crois plus aux mesures cosmétiques de Twitter consistant à supprimer un ou deux Tweets ou à suspendre temporairement ce compte. Elles ne sont d’aucune utilité.

J’attends de Net Ecoute que vous m’aidiez à faire disparaître les tweets diffamatoires qui sont une atteinte difficilement supportable à ma réputation.

J’attends aussi que cette nuisance ne se reproduise plus. L’erreur de Twitter est de s’en tenir au texte (pourtant déjà très violent) des tweets sans considérer le volume de la diffamation, le panel des accusations portées et la permanence du harcèlement. En clair, pour Twitter, tétanisé par #metoo, dont joue habilement @barefoot_rmala, je ne suis pas une victime.

Je souhaite que vous obteniez, de Twitter, l’effacement définitif de tous les Tweets de @barefoot_rmala (et/ou @barefootRamster) mentionnant le compte @bernardgrua afin de faire disparaître les plus de 350 tweets diffamatoires me concernant.

Je souhaite la suppression irrévocable du compte @barefoot_rmala (ou son nouvel avatar) de Ramla Akhtar, alias Rmala Aalam.

Je souhaite la suppression du deuxième compte connu de cette personne, à savoir @BarefootRaRa.

J’espère que vous m’aiderez lorsque cette personne ouvrira un nouveau compte pour poursuivre son harcèlement.

J’aimerais que Net Ecoute obtienne de la Police Nationale qu’elle fasse son travail en signalant @barefoot_rmala par le module Twitter prévu pour les forces de l’ordre https://help.twitter.com/forms/lawenforcement.

J’aimerais que Net Ecoute obtienne de la communauté urbaine de Nantes qu’elle signale depuis ses différents comptes être spammée par @barefoot_rmala.

Si vous en avez, merci de nous transmettre des captures d’écran:

1ère pièce jointe: détournement et harcèlement en meute

1 Détournement du nom

2. Harcelement en meute

3. Ce harcelement sera sans fin

2e pièce jointe: tweets @barefoot_rmala du 03/11/2019

3e pièce jointe: analyse du compte @barefoot_rmala

4e pièce jointe: rapports de Twitter comportement haineux de @barefoot_rmala

5e pièce jointe: réception par Twitter des publications @barefoot_rmala du 13/11/2019

Avez des informations complémentaires?

Je souhaite insister sur le fait que quatre ou cinq Tweets, même infâmes, provenant d’une personne radicalisée du Pakistan ne sont pas un problème. Ici, le point qui est crucial, c’est le volume. Comme le dit cette citation attribuée à Goebbels : « Un mensonge répété mille fois se transforme en vérité ».
Mille fois? On va y arriver. Je ne peux, bien sûr, pas répondre à chaque assertion je ne ferais que nourrir le harcèlement et céder à la provocation. Pourtant, je ne peux pas laisser dire de telles choses. Je souhaite insister aussi sur le fait que cette personne se nourrit de sa propre haine et de ses propres élucubrations. Elle recycle en permanence certaines calomnies auxquelles il a déjà été répondu. De mon côté, soit en m’exprimant soit en me taisant, soit en supprimant mon compte Twitter, je ne ferai pas disparaître ce qui est écrit. Je ne mettrai pas fin à la malfaisance. L’adage mainte fois entendu : « Ne pas nourrir le troll » ne fonctionne pas. Comme l’écrit @barefoot_rmala dès le 13 novembre (1re pièce jointe § 3) :

« I’ll tell you why I cant easily let go the cruel madman @bernardgrua. This : He is a priviliged White European male with possibly no life issues. Strong passport, money in bank, ease of travel. Life can’t be better. » .

Il a été difficile de faire un choix parmi tous les éléments dont je dispose. De même, je n’ai pas pu, par manque de place, objecter aux fausses accusations qui sont portées contre moi. Je me tiens donc à votre entière disposition pour répondre à vos questions ou pour vous communiquer des éléments complémentaires. Mon mail:bernardgrua@****.fr. Mon téléphone : 06**** 60 (en clair sur le formulaire de Net Ecoute) .
Dans la pièce jointe qui me reste, j’ajoute une des notifications de Twitter pour information.

Dans quel département habitez-vous ?

Loire Atlantique (44)

Quel est votre sexe?

M

Comment avez-vous connu Net Ecoute ?

J’ai connu Net Ecoute en faisant des recherches sur Internet. Aucun des contacts rencontrés, Nantes Métropole, Police nationale, Tribunal de Grande Instance, «Association Nantes Victimes » ou « Association d’avocats du barreau » ne m’a signalé votre existence. Et pourtant, vous êtes les seuls, à, semble-t-il, vouloir aider les victimes de cyber-harcèlement.

J’ai besoin de votre aide.

Merci.

Addenda

Les éléments suivants n’ont pas été mentionnés dans le formulaire envoyé à Net Ecoute mais ils semblent utiles à la compréhension et à la documentation de ce cas

A1: Tweet adressé, le 2 décembre 2019, à @PoliceNat44 leur demandant de faire enfin leurs diligences quant à l’envoi d’une requête à Twitter.

A2: Email de demande d’aide envoyé à la ville de Nantes le 22 novembre 2019 – Sans réponse

Email faisant suite à une conversation téléphonique du 8 novembre et une visite à la Mairie de Nantes de le 20 novembre. La municipalité de Nantes, pourtant première destinataire des dénonciations calomnieuses n’a pas jugé nécessaire de répondre à cet email demande d’aide. Par ailleurs, de nombreux tweets de demande d’aide ont été envoyés à @NantesMetropole.

A3: Quelques échanges avec Twitter

Le suivi des signalements Twitter est rendu impossible. Le texte d’accompagnement auquel sont joints des tweets n’est jamais indiqué sur la confirmation reçue de Twitter aussi bien par notification (voir 5e Pièce Jointe) que par email. Seuls figurent (sans images jointes) les Tweets signalés et un numéro de « case ». Lors du résultat de la revue (conformité ou non aux règles), reçu par email, seul figure le numéro de « case » sans le message d’accompagnement qui est envoyé lors du signalement et sans les tweets signalés. La modération de Twitter est donc particulièrement opaque et non traçable. Ce point mériterait une intervention de la CNIL.
Ici, seront donc présentés, à titre d’information, que quelques seuls échanges additionnels aux signalement. Ils ne sont pas représentatif du volume de ce qui a été adressé à Twitter lors des notifications.

En revanche, ils montrent l’inconcevable incurie de Twitter face aux agissements délictueux signalés.

Pour lire les captures, cliquer sur une des images, puis cliquer en bas à droite de l’écran « afficher en taille réelle. Enfin, le cas échéant, re-cliquer sur l’image (+) pour zoomer.

A4: Mise à jour des profils Twitter de @barefoot_rmala depuis le 1er décembre 2019

A5: Identification de la cybercriminelle @barefoot_rmala comme étant la pakistanaise Rmala Aalam , alias Ramla Akhtar, de Hussaini, Nord Pakistan

L’image, ci-dessous, présente le profil Twitter de @barefoot_rmala à deux dates différentes


– Le bandeau du profil se retrouve sur la page Facebook de la boutique BetterBonds à Hussaini, Gojal, Pakistan dont Ramla (aka Rmala) est la propriétaire (1ere image ci-dessous) : https://www.facebook.com/betterbonds.shop/photos/a.281802829082822/282619842334454/
– La première photo de profil (01/12/2019) Twitter est dans un album de la page personnelle Facebook de « Rmala Aalam » (2e image ci-dessous) : https://www.facebook.com/BarefootRaRa/media_set?set=a.2441621859225516
Notons, ailleurs, que BarefootRaRa (dans l’adresse) est très proche de barefootRamster ancien appellation du compte Twitter @barefoot_rmala. Le compte @barefootRara (4ème image ci-dessous) existe sous Twitter. Il s’intitule « Ramla » et renvoie vers un site web « ramlaakhtar.com« .
– La deuxième photo de profil Twitter se situe dans la page blog Facebook de Rmala Aalam (4e image ci-dessous), alias Ramla Akhtar: « Black Mountain Dragon etc…. » https://www.facebook.com/KarakoraMommy/photos/a.332753497501616/395998674510431/ . Par rapport à la photo originale le visage de l’enfant et de l’autre personne ont été volontairement floutés.

La page Facebook, https://www.facebook.com/RamlaAkhtar/ , s’intitule « The Unfinished Works of Rmala al’Aalam ». On y voit que Ramla Akhtar est née en 1979. Cette même page conduit à https://www.facebook.com/HiddenTeachings/ « A Woman of God Speaks to Your Heart, Your Soul », à https://www.facebook.com/changemakers.hub/ dont l’organisateur est Rmala al’Aalam alors que la date de fondation (sic) est Ramla Akhtar. On y trouve des vidéos de cette personne aux deux identités.

A6: Trente-deux tweets d’insultes, provocations, harcèlement, diffamation, dénonciation calomnieuses adressés par @barefoot_rmala le 7 décembre 2019

Pour lire les captures, cliquer sur une des images, puis cliquer en bas à droite de l’écran « afficher en taille réelle. Enfin, le cas échéant, re-cliquer sur l’image (+) pour zoomer.

A7: Quelques tweets parmi les plus infâmes de Ramla Akhtar alias Rmala Aalam

Ecrire des choses pareille en accompagnement d’aussi abominables re-tweets peut sembler être de la démence. Cela reste, néanmoins, cohérent avec la construction d’une personnalité virtuelle, cible que l’on appelle à lyncher. Cela permet aussi à Akhtar de se positionner en martyr et d’invoquer le fait qu’elle est victime de violences ayant le droit au support, voire devenant une icone, du mouvement #MeToo.
En réalité, il n’en est rien. Dans ses tweets et sur Facebook, Akhtar se vante de pourchasser et de harceler physiquement l’homme, avec qui elle est encore administrativement mariée, tout en l’accusant d’être un pédophile, la faisant vivre dans la terreur.
On peut aussi se demander dans quelle mesure des provocations aussi répugnantes n’ont pas pour objet de provoquer une ou des réponses qu’elle présentera comme des attaques. Il est très difficile de ne pas répondre à ces infamies publiques, diffamatoires, que Twitter considère conforme à ses règles.
Les quelques tweets suivants sont une illustration des manipulations et des pulsions auxquelles se livre cette cyber criminelle, dont on ne peut que mettre en cause la moindre parole .Il est inquiétant de voir que personne ne conteste son témoignage sur Twitter. Certain(e)s allant jusqu’à « liker » et « re-twitter ».

A8: Cadence de production de tweets de harcèlement et diffamation contre Bernard Grua par la cybercriminelle Ramla Akhtar alias Rmala Aalam

Présentation du harcèlement de Ramla Akhtar, de son usage abusif du nom de Bernard Grua et des démarches en cours
Ramla Akhtar Portrait
Ramla Akhtar lors d’un de ses premiers séjours dans la vallée de la Hunza
Ramla Akhtar
Ramla Akhtar avant sa radicalisation lorsqu’elle habitait Karachi

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Ce document est la re-transcription des éléments ayant renseigné le formulaire de signalement adressé à l'agence gouvernmentale « Net Ecoute » contre le cyber-harcèlement. Il concerne la dénonciation du flot de Tweets haineux et calomnieux propagé par la pakistanaise Ramla Akhtar, alias Rmala Aalam, depuis son compte @barefoot_rmala en vue d'obtenir la suppression des ses écrits criminels déjà publiés, d'en empêcher la continuation et d'obtenir le bannissement, sous Twitter, de leur auteure.
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7 commentaires sur « Formulaire de signalement du compte @barefoot_Rmala à l’agence gouvernementale contre le cyberharcèlement »

  1. A reblogué ceci sur No to Hate-Speech, abuses & violenceset a ajouté:

    Ce document est la re-transcription des éléments ayant renseigné le formulaire de signalement adressé à l’agence gouvernmentale « Net Ecoute » contre le cyber-harcèlement. Il concerne la dénonciation du flot de Tweets haineux et calomnieux propagé par la pakistanaise Ramla Akhtar, alias Rmala Aalam, depuis son compte @barefoot_rmala (renommé, depuis, en @GruaAbuseArkive) en vue d’obtenir la suppression de ses écrits criminels déjà publiés, d’en empêcher la continuation et d’obtenir le bannissement, sous Twitter, de leur auteure. La « vie sociale » de Ramla Akhtar passe principalement par un groupe Facebook, Ramla’s Projects, qu’elle souhaite faire passer pour une ONG internationale et où elle propose, sans succès, des prestations facturables pour lesquelles elle n’a pas d’expertise.

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