Les Etats occidentaux se trouvent démunis face au discours de haine en ligne tenus par des ressortissants de pays situés en zone grise du droit international. Leurs autorités y sont indifférentes, voire sont les premières à y recourir, quand elles ne les encouragent pas. C’est le cas du Pakistan. Ainsi, la cyber-harceleuse Ramla Akhtar, alias Rmala Aalam, y jouit depuis plus de deux ans d’une impunité complète, tandis qu’elle a décidé de s’en prendre à un citoyen français.