André Markowicz, Françoise Morvan et les Bretons

Grâce à sa production littéraire reconnue et grâce à quelques textes s’opposant au totalitarisme de Vladimir Poutine, André Markovicz bénéficie d’une aura empêchant tout questionnement sur sa personne. Mieux, il est largement partagé et congratulé. Pourtant, quand on réexamine l’enchaînement de ses publications, on ne peut qu’être sidéré par le flot de calomnies et de contre-vérités qui hantent un sous-jacent discours de haine, souvent directement copié de sa conjointe, Françoise Morvan. La méthode de désinformation est habile, à défaut d’être loyale

André Markowicz: le poison

Grâce à sa production littéraire reconnue et grâce à quelques textes s’opposant au totalitarisme de Vladimir Poutine, André Markovicz bénéficie d’une aura empêchant tout questionnement sur sa personne. Mieux, il est largement partagé et congratulé. Pourtant, quand on réexamine l’enchaînement de ses publications, on ne peut qu’être sidéré du flot de calomnies et de contre-vérités qui hantent un sous-jacent discours de haine, souvent directement copié de sa conjointe, Françoise Morvan. La méthode de désinformation est habile, à défaut d’être loyale.
Le langage jacobin-trotskiste imprégné de complotisme, de Markowicz et de Morvan a un constant fil conducteur : montrer que le mouvement breton et que la langue bretonne sont les créations d’une extrême-droite, sécessionniste, intégralement inspirée par la collaboration avec l’occupant allemand. Cette idéologie serait perpétuée par des néo-nazis agissant en collusion avec « les patrons ». On est là, dans le schéma de propagande appliqué depuis 2013 par le Kremlin contre l’Ukraine.