Sur le journal Libération, le faux témoignage d’Arthur Gazzarin , matelot de Vladimir Martus, résulte de la réprobation que suscite le viol des sanctions par le navire russe Shtandart sur lequel il est embarqué. Mais il trouve aussi sa source dans une ukrainophobie dont les éléments de langage sont promus par la propagande du Kremlin depuis 2014.
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